au départ
il n'y a pas grand-chose
du rien
de l'impalpable
du léger
de l'aérien
de l'intouchable
de l'insaisissable
de l'impondérable
de l'imperceptible
de l'intangible
du délié
du ténue
du fin
de l'éthéré
du pratiquement immatériel
de l'étendue
de l'extérieur ce qui est à l'extérieur
de nous ce au milieu
de quoi nous nous déplaçons
le milieu ambiant
l'espace alentour
le concept
du tout ne réside pas
dans les choses mais en nous
ces unités
que nous nommons organismes ne sont encore que
des multiplicités
il n'y a en réalité pas
d'individus
d'ailleurs les individus et les organismes ne sont que
des abstractions.
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