sous le balancier incertain des
demi-horloges
le jour s’effrite en heures
magnoliennes
pétales
suspendus dans la lumière
le temps
n’ose plus avancer
il écoute
grandir le parfum du monde
devant un rouge
qui cherche aussi du sens ailleurs
ou encore nulle part
parler avec les impasses
c’est
poser la main sur leurs murs sans chemins
écouter ce que dit le silence
au fond des
tournants
arrêtés
elles
murmurent
que rien ne s’achève
certaines
fins sont des respirations
en leur cœur fermé
dorment d’autres issues indociles
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