l’homme
doit être laissé comme
non fini
c’
est-à-dire
comme appartenant
à
une espèce
en cours
de métamorphose infinie
dans
une nature
qui est
elle-même
une métamorphose infinie
*
au
pied
d’
un sureau
entouré
de buissons
de lilas et de noisetiers
j’aime le contact de cette tête
humide sur mes
genoux
un chemin creux de montagne
une étoile filante phosphorescente
une pleine lune
et
un croissant
quelques
traces d’encre suspendues
dans
un rectangle de papier
effacent les images qui encombrent
mon présent
six kakis
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire