dimanche, avril 08, 2012

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Pâque qui délies toute peine !

Pâque, mémoire éternelle !














 
Piero della Francesca








La Résurrection du Christ, 1463.
Sanserpolcro, pinacoteca communale









Fiat Lux

          Photismos

Illumination



             Son Jour ! 
 l'abolition de toutes  souffrances
 sonores et mouvantes
dans la musique plus intense







Le Christ tient à la main
l'étendard blanc frappé
de la croix rouge
symbole de la
Résurrection




Piero della Francesca a choisi la version statique, silencieuse et solitaire de la scène, sans l'apparition d'aucune figure, le Christ se tenant immobile dans une pose frontale : la Résurrection marque un changement radical dans l'histoire de l'homme, qu'elle divise en deux époques, avant et après.
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L'aller bien

Trouver  Chercher

S'étonner davantage



C'est un mouvement et un repos



Une certaine allure

Un certain calme



L'aller bien de ceux à qui on demande

Comment ça va ?
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     L ' Écart



Ils ressentaient comme une meurtrissure cette faute dans le temps, et la voix insistait sur la blessure mettant à nu une vulnérabilité ancienne : l'élaboration du silence. Cette marge, lame récidivée dont aucune courbe ne se dessinait à l'horizon. " comme on porte une parure. "



























Un lyrisme objectif...

L'un des traits du lyrisme moderne est la recherche paradoxale de l'objectivité lyrique, c'est-à-dire aussi bien d'un lyrisme pour lequel l'objet prévaut sur le sujet (celui de Ponge par exemple) qu'un lyrisme ayant pour extrême souci de contrôler et transposer les affects dont il procède. L'exemple le plus remarquable est offert par l'oeuvre d'Anne-Marie Albiach :


"C'est dans le même contexte, me semble-t-il, qu'il faudrait parler du "lyrisme" spontané d'Anne-Marie Albiach, qui porte sa phrase au chant, au phrasé, qui la pousse (et de plus en plus à mesure que son œuvre progresse) à transposer la réaction affective, la "passion" qui toujours l'anime.

Mais là encore, comme pour la tendance "baroque", et plus encore peut-être, ce lyrisme premier, foncier, s'il est presque toujours présent chez elle, fait l'objet d'un rigoureux contrôle, d'un travail qui vise à l'intégrer en ne le laissant pas dominer, proliférer, emporter.

C'est là sans doute une des caractéristiques les plus singulières de cette écriture par rapport aux propositions qui lui sont contemporaines: il s'agit d'une poésie musicale sans musicalité, personnelle-impersonnelle, lyrique non Lyrique, ou d'une poésie qui parviendrait à quelque chose comme une neutralité ou objectivité lyrique. "

Extrait de Théâtre du poème,
de Jean-Marie Gleize, aux éditions Belin
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Claude Royet-Journoud

"Travailler le blanc. Le pousser. Lui donner des mots. Une table. Une main. Des objets de l'autre clarté. dans la définition. C'est pour toi c'est pour moi. Bascule. Rien ne tient. Et il finirait par le croire! Mais dans le seul. Plus loin encore que la solitude. Le seul. Là où nous marchons toujours à notre propre rencontre. Loin l'un de l'autre. Dans une voix traversée, chantée, chantante. La voix du seul"

Les objets contiennent l'infini
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Quelques éléments sur la Table d'AMA







Mezza voce








Distance : " Analogie "

... La lumière

" Le voyage d'hiver "

" La voix extrême de la lumière "


".... Où la forêt est la plus sombre "


H  II        linéaires


Objet
     Le double
     Césure : le corps


Strates

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Le présent

Figures roses
Dans le tremblement

Précarités du   Jour








Poésie


d'un prélèvement tissulaire


Biopsie





L'intérieur d'un vase
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Darren Almond











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Darren Amond



















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