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Meraviglia. Voici un fleuve, une montagne, un chant, une symphonie. Voici un beau Poëme de solitude né au domaine où l'âme se reçoit. Lisez et ouvrez grandes vos oreilles. Que l'âme sonne, que l'essence-ciel résonne ! Meraviglioso. Grazie.
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Frère Renaud Escande op, 14 septembre 2010 :
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" Le chant du Veilleur est l'écho, sublime, d'une expérience mystique. Tout y chante Dieu. Tout y conduit.
Là, au creux des mots, mais aussi entre, le verbe exulte.
Tout du long, le Poëme offre et garde la saveur, riche, d'un Magnificat.
On y partage l'exaltation de l'âme croyante et la jubilation de la louange.
Souvent aussi la supplication d'une âme inquiète qui, si elle a parfois des mots ciselés en pointe pour haranguer le monde, n'en témoigne pas moins du souci lancinant du pécheur.
L'âme d'où jaillit ce Chant est une âme jalouse, une âme qui aime, soyez donc prévenus !
Sur la page court cette clarté si difficilement simple que j'aime chez les Pères de l'Église. Et puis cette musique, partout, qui nous porte, nous précède et nous devance.
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Cher Maxence, tu m'as demandé d'ouvrir à la lecture de ton Poëme
et je ne sais qu'écrire d'autre à l'entame de ton Chant.
Ton Poëme est une superbe préface à la rencontre.
Un appel à se tenir, là, avec toi, devant cette Face sainte par qui tout est tenu.
Voilà, avec toi, veilleurs, mêler nos voix pour la Préface à une action de grâces.
Ta dédicace dit tout le reste jusqu'à ton point final, et sans doute au-delà.
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Frère Renaud Escande op, 14 septembre 2010
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VIAROMANA
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