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Au divan du psycanalyste, les " schizoanalystes "
préfèrent la promenade :
La promenade du schizophrène, c'est un meilleur modèle que le névrosé couché sur le divan. Un peu de grand air, une relation avec le dehors ( l'anti-OEdipe ). Le moi qui émerge de telles déambulations est " un étrange sujet, sans identité fixe ", qui " s'étale sur le pourtour du cercle dont le moi a déserté le centre ".
L.A. Photographie, Arolla, juillet 2011
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