prologue
la montagne
dix ans de silence
le vent sculpte la solitude
le cœur s’élève
le soleil se lève
l’ombre des dieux sur la pierre
le temps est prêt
la descente
descendre vers l’homme
porter le feu dans la foule
l’écho de l’avenir
la mort de Dieu
Dieu est mort le murmure
traverse l’ermite traverse
les âmes assoupies
le funambule
corde tendue au ciel
souffle chute
la vie se tient fragile
surhomme annoncé
l’homme est à surmonter
créateur de sa mesure
le futur attend
compassion
corps tombé dans la poussière
mais l’âme est libre
Zarathoustra veille
l’éveil
le monde est prêt ou non
le vent souffle toujours
les valeurs se recréent
cantos du surhomme
dix ans de silence sur la montagne
le vent sculpte la solitude
le cœur s’élève comme un feu dans l’air pur
le soleil se lève
les ombres des dieux caressent la pierre
le temps lui-même s’incline
Zarathoustra descend
porter le feu aux hommes endormis
offrir ce qu’il a reçu dans la lumière du sommet
Dieu est mort
murmure qui traverse l’ermite
le vent sculpte la solitude
le cœur s’élève comme un feu dans l’air pur
le soleil se lève
les ombres des dieux caressent la pierre
le temps lui-même s’incline
Zarathoustra descend
porter le feu aux hommes endormis
offrir ce qu’il a reçu dans la lumière du sommet
Dieu est mort
murmure qui traverse l’ermite
traverse les âmes
fracas silencieux dans la ville assoupie
la foule regarde un funambule
corde tendue au-dessus du vide
un souffle fragile une chute inévitable
L’homme est à surmonter
dit Zarathoustra
créateur de sa mesure
fracas silencieux dans la ville assoupie
la foule regarde un funambule
corde tendue au-dessus du vide
un souffle fragile une chute inévitable
L’homme est à surmonter
dit Zarathoustra
créateur de sa mesure
architecte de ses valeurs
le futur l’attend dans le vertige
le corps tombe
mais l’âme se tient libre
le regard de Zarathoustra veille plein de compassion
le monde continue de tourner
le monde n’est pas prêt peut-être jamais
et pourtant le vent toujours
les valeurs se recréent dans la lumière et la poussière
comme une promesse invisible qui se tient au creux du temps.
ainsi commence l’enseignement
non par force
le futur l’attend dans le vertige
le corps tombe
mais l’âme se tient libre
le regard de Zarathoustra veille plein de compassion
le monde continue de tourner
le monde n’est pas prêt peut-être jamais
et pourtant le vent toujours
les valeurs se recréent dans la lumière et la poussière
comme une promesse invisible qui se tient au creux du temps.
ainsi commence l’enseignement
non par force
ni par loi
mais par éveil
par la conviction que l’homme peut devenir plus que lui-même
que le Surhomme est souffle mouvement lumière
mais par éveil
par la conviction que l’homme peut devenir plus que lui-même
que le Surhomme est souffle mouvement lumière
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire