lundi, septembre 09, 2024


Kafka 

écrit ainsi dans le Journal de 1910 


j’aurais dû être 

ce petit habitant des ruines 

qui prête l’oreille aux cris des choucas 


















ce réseau symbolique est associé à la mort la ruine l’absence de communication et à la solitude du paria auquel Kafka s’identifie toute sa vie durant



on ne peut pas parler avec les nomades ... 

pour se comprendre entre eux 

ils crient comme 

les choucas… 


on ne cesse d’entendre ces cris de choucas 

nos mœurs et nos coutumes 

sont aussi incompréhensibles qu’indifférents 















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