poésies
dans les creux
ces modulations subtiles
ces changements
ces inflexions
ces infimes qui tremblent par sympathie
ces troubles
ces hiatus
ces débordements
ces formes incertaines et éphémères
ces insaisissables
ces presque rien
ces rémanences
une musique
de la brume où
de l’eau s’écoule mais ne s’écoule pas
où s’en imprègne ce qui s’y trouve sans que se mouille
ni ne soit submergé
quoi que ce soit
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