mardi, janvier 30, 2024




Comble d’un bleu vêt un ciel nu 

Paru 
Un ciel sans monde 
Jamais oiseau n’y fut 
Foudre n’en tombe 
Nuages lents ne s’y confondent
Un ciel me plaît 
Mais parce que mort y abonde 
Je m’y en vais comme l’intrus 
Et comme un mort j’y suis partout le bienvenu




























 









il faut lire  presque à haute voix  pour y croire

le lecteur y trouvera de l’hermétisme du réalisme du lyrisme de la bouffonnerie et de la gravité de la médiocrité et des grands sentiments un bariolage assurément mais lié dans un mouvement que le personnage-poète provoque d’une voix reconnaissable subtile et farouchement vivante



















Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire