le rejet du point de vue normatif
la part fonctionnelle du langage
prose vide
programmes d’improvisation
quand ne pas écrire équivaut
à ne pas vivre
mais que peut-on
attendre des improvisations programmées
?
des épiphanies féeriques
?
quelles autres joyeuses métamorphoses si rien ne peut avoir lieu sans l’élégance fluide sans la légèreté scintillante des phrasés interconnectés pour la palabre pétillante et pour le pur plaisir des actes de parole
?
et que dire
qu’écrire
pour insuffler la paix et le rire
à qui a peur de parler
et à qui a peur du silence
?
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