rêveries...
un promeneur
la brèche solitaire
une trouée
dans le ciel dérivant vers les portes
me voici seul...
telle est la marche qui toujours marche vers...
je me vis en éclats
la dérive qui dirige
l’œil dans le temps
*
toute promenade
dit-il est
sans
fin
il
semblerait que la nature
ait
un nom défait de l'intérieur
défaut
irrésolu entièrement écrit
à la main
tout
le manuscrit appelé
aujourd'hui
les
rêveries d'
un promeneur solitaire
fut retrouvé griffonné à la hâte
et la main court et couvre aussi ses centaines de milles
CS.PàP
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