mercredi, juillet 22, 2020





Le premier livre 
du journaliste Hugo Clément 

Un manifeste 
et un guide pratique destiné à tous

aux végétariens 
qui veulent convaincre

mais aussi 
aux carnivores 
qui se posent des questions



J'adore la viande. 

Encore plus le poisson. 

J'aime l'odeur des saucisses grillées au barbecue, un soir d'été, dans le jardin. 

Je raffole du poisson que mon père chasse au fusil harpon, du poisson cru sous toutes ses formes, en sushi, en tartare, en ceviche. 

J'en mangeais tous les jours. 

Mais, depuis deux ans, je ne mange plus un seul morceau de viande. 

Depuis un an, plus un seul de poisson.

Cette 
décision vient 
d'

une prise de conscience progressive
motivée par trois 
évidences 



1

Je n'ai pas besoin 
de manger de viande ni de poisson 
pour être en bonne santé au contraire 

2

L'élevage 
et la pêche industriels sont 
un fléau pour l'environnement 

3

La manière dont l'humanité traite les animaux
particulièrement ceux d'élevage
est ignoble et immorale



Depuis que je suis végétarien (je consomme encore des produits d'origines animales comme des œufs ou du fromage), cette décision est devenue un inépuisable sujet de discussion, en famille, entre amis, avec des inconnus. 

Tout le monde veut participer au débat. 

Et tant mieux, car il nous faut, collectivement, nous poser cette question : "faut-il manger les animaux ?" La viande et le poisson que nous dévorons sont le fruit d'un système profondément immoral et dévastateur. 

Mais la plupart d'entre nous ne veut pas en apprendre plus. 

Ne veut pas entendre. 

Ne veut pas ouvrir les yeux.

Cet ouvrage court, facile d'accès et rapide à lire, donne des faits, des arguments clairs et incontestables. 

Une sorte de guide pratique destiné à celles et ceux qui veulent convaincre, mais aussi et surtout aux millions de carnivores qui se posent des questions. 

Je veux ici casser les idées reçues, en m'appuyant sur les consensus scientifiques. 

Certains points font débat, d'autres non. 

C'est sur ces arguments incontestables qu'il faut s'appuyer. 




































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