lundi, avril 06, 2020


pourquoi 
pas 

une histoire 
mais cent mille histoires 



parce qu’il n’y a plus 



















à simuler et 
à encadrer
mais à faire déferler 
le plus amplement
minutieusement et rapidement possible
la narration et sa mémoire 
qui vont de l’horreur au comique
du constat de mort répété à l’état mystique
de l’information critique 
à la méditation catastrophique
du biologique au métaphysique 
en passant
kabbalistement
par la dérision 
l’obscénité et
bien entendu
le tragique

voilà 
le roman

trouver des mots nouveaux pour 
le confinement

vole le feu
vole le sel
vole le projet

de celui 
qui se battait dans

une organisation artistique

une école 
seulement faite de mots



























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