Ainsi forgerai-je mon âme maintenant
La contraignant à l'étude
Sur les bancs d'un docte savoir
Jusqu'à ce que le délabrement du corps
Le sang qui se dégrade lentement
Le délire retors
Ou
la morne décrépitude
Ou
survenant pis encore
le malheur
La mort des êtres chers et comment périssent
Vives à en couper le souffle toutes lueurs
Présentes dans leurs regards jadis
Ne semblent plus
que nuages passant dans le ciel
Lorsque l'horizon
pâlit
Ou
le cri
d'
un oiseau
qui sommeille
Parmi les ombres appesanties
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