quand je vois l'alouette bouger
de joie ses ailes à contre-jour
s'oublier et se laisser choir
en raison de la douceur qui au cœur lui va
tant d'envie m'en vient
de ceux que je vois joyeux
que je m'étonne que
mon cœur de trop désirer ne fonde pas
atomes
à chaque moment de la nuit
les formes pour les larmes
se séparent en une averse
et puis descendent de nouveau
presque comme toute chose
la musique possède une grande force
les mois du printemps
l'étrange intermède
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