fleuves & montagnes sans fin
Lionel André / promenades / randonnées / arts / littératures / air du temps
mardi, mars 05, 2019
le banal
est ce qui survit du temps
vécu
il est
la lenteur du profond
s'opposant à la vitesse de surface
c'est
l'espace précis
dans lequel l'homme vivant
peut et doit
agir
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