mercredi, novembre 21, 2018





Salle des machines 

remet 
en perspective l’ensemble 
du parcours 
de 

Jean-Michel Espitallier




Le livre s’ouvre sur son premier recueil, épuisé de longue date, Ponts de frappe, augmenté ici de plusieurs inédits, et se poursuit avec deux opuscules ultérieurs : une tragi-comédie sanglante, Fantaisie bouchère et un pamphlet acerbe, rédigé lors de la seconde guerre du Golfe, En guerre. 

S’y ajoute une suite inédite, composée ces dernières années en vue d’un second Théorème d’Espitallier, finalement laissé en suspens. 

Voici donc 
nous précise l’auteur 

un 
livre 
constitué de pièces détachées, 
exilées de différentes 
époques

Il doit être lu non comme un recueil un peu contraint de textes parfois conflictuels, mais plutôt comme un livre neuf, constitué d’un seul et même mouvement d’écriture, succession d’épisodes d’une même aventure, d’une même métamorphose, qui, accessoirement, pourra donner des débuts de réponses à l’inusable question placée en préambule : 

écrire, pourquoi ? 



je ne suis pas
celui dont j'ai l'air
je n'ai pas l'air de qui je suis

je ne suis pas
celui dont je n'ai pas l'air
je suis celui
qui n'est pas celui qui en a l'air
























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