mercredi, août 29, 2018




Ton sourire éblouissant

prolonge

La même rose avec son bel été

qui plonge


Dans autrefois et puis dans le futur aussi




















Le soleil se cache un peu

mais les arbres

tout à coup

jaunis et lumineux

le remplacent






Malheur à qui n’est pas charmé
Par quelques vers de
Mallarmé































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