Lionel André / promenades / randonnées / arts / littératures / air du temps
mercredi, avril 11, 2018
la langue sèche le clou retient la pente le lambeau claire au vent le chemin nu la gare loin le fleuve coule la terre se dé sèche Avec le seul mouvement déréglé de l'horloge le bruit du train passé j'attends
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