.
E S P R I T
il porte
les vêtements de la
déhiscence
il plane
en décrivant des
cercles
se manifeste en tournoyant
nul instant
ne peut se reproduire
pour l'heure
le flux me berce
tandis que je m'attarde à flâner
le soir
je m'en vais
coucher aux parages
de la
séparation naturelle
ouverture spontanée
.
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