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« Penser sans le savoir. Marcher sans le savoir. Ni savoir comment faire pour marcher ou penser. S'étonner de manquer de savoir. » D'ordinaire, le langage répond aux interrogations par des énoncés articulés autour de verbes soumis à la conjugaison, rattachant ainsi l'homme à ses questions sans pour autant lui répondre. Restait à tenter l'expérience de la "déconjugaison", par laquelle le verbe, laissé intact, se déclinerait exclusivement à l'infinif.
Croire devoir penser
Emmanuel Fournier
L'éclat
L.A.Photographie Vanoise 2015
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