vendredi, février 21, 2014

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Le littoral :
la limite entre continent et océan,
lieu de phénomènes complexes – retraits et avancées, 
transgressions et régressions, 
une ligne variable, 
rythmes divers. 



C’est sur ce terrain que
Kenneth White a basé sa poétique.



Et c’est là, dans son poste de vigie, qu’il accumule ses « archives », documents qui suivent les lignes du monde, de l’Écosse à l’Alaska, de la Bretagne au Japon, écrits soit à la première personne, soit en adoptant le masque de tel ou tel personnage historique : navigateur, découvreur, errant anonyme… Avec toujours un langage approprié, allant de la musique pure et lointaine d’une pièce nô au ton familier et ludique d’une ballade ou d’un blues.


















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Alaska
le wilderness et ses glaciers...
















La route que j'ai prise
La mer quelque part
Un banc de sable




Kenneth White
Les Vents de Vancouver
Le Mot et le Reste









La revue des ressources

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