jeudi, novembre 27, 2014

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fin d'après-midi 
lecture-looove

















votre 
famille
ne me doit rien

Avec tout 
le respect que j'ai pour elle 
je crois avoir 
songé uniquement 
à vous... 

Vous êtes
trop généreuse 
pour vous jouer 
de mes sentiments

Si les vôtres 
sont les mêmes
qu'au printemps dernier
dites-le-moi tout de suite 

Les miens n'ont pas varié
non plus que le rêve que j'avais
formulé alors

Mais un mot de vous 
suffira pour m'imposer le silence à jamais.




*



Là, 
Elizabeth est 
à bout de souffle
elle dit oui
et nous avec

Les deux 
amoureux s'avouent 
l'un à l'autre 
leur intolérance
leur maladresse

leurs
sentiments boursouflés 

d'orgueil 
et de préjugés 


n'est repris que ce qui
coïncide étonnamment avec
la vie de l'auteur

Evidemment











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