samedi, octobre 26, 2013

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Ses mains couvrent ses tempes
Lorsqu'elle ne trouve pas le mot
ses doigts tombent et tirent d'aile.

Soulevant comme un nuage
qui brunit ses joues.

Elle se trouble.
Elle se tait.








Une fois dans la vie. Les besoins du corps.

On touche le front et puis le coeur
l'épaule et l'épaule, d'une main.

Comme d'autres liaisons non sexuelles
juste en certains points de son arc
le pendule m'interdisait
de demander.








Julie Kalendek




PRENEZ-EN CINQ

Traduit de l'américain par Pierre Alferi






Format américain 

1993






un
bureau
sur
l'Atlantique






















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