vendredi, octobre 25, 2013

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«C’est pourquoi le “Dieu est mort” de Nietzsche peut être prononcé par le christianisme lui-même, et plus encore: il en constitue l’annonce fondamentale».

Au classique antichristianisme de Nietzsche, Cacciari oppose un Jésus non seulement omniprésent dans l’œuvre, mais qui incarne en outre la possibilité d’un renversement de toutes les valeurs. L’antéchrist nietzschéen n’est donc pas un déni de la figure de Jésus, mais d’une Eglise qui ne l’incarnerait plus. Ce renversement de perspective permet de relire l’œuvre nietzschéenne (et la pensée des Evangiles) de manière bien différente, et propose une interprétation nouvelle et bouleversante de l'Ubermensch nietzschéen.



éditions de l'éclat / éclats
(ceci n'est pas un livre)
























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