samedi, mars 30, 2013

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peut représenter un mouvement



de l’extérieur vers l’intérieur

de la forme à la contemplation

de l’espace à l’absence d’espace

du temps à l’absence de temps

de la multiplicité à l’unité



Le labyrinthe

devient l’image d’un chaos initial ordonné

et agencé par l’intelligence humaine.









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Jusqu’à la Renaissance, les labyrinthes de déambulation étaient un objet de spiritualité et ne se trouvaient que dans les édifices religieux. Ce n’est qu’à partir du 15e Siècle que des méandres de bosquets se répandent dans de nombreux jardins d’Europe apportant au labyrinthe une dimension profane : le plaisir de se perdre. 




L’essence même du labyrinthe est de circonscrire dans le plus petit espace possible l’enchevêtrement le plus complexe de sentiers et de retarder ainsi l’arrivée de l’explorateur au centre qu’il veut atteindre. 
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