mercredi, janvier 16, 2013

.

Thomas Stearns Eliot















Il n'y a pas même de solitude
 dans les montagnes
Mais des faces enflammées des faces
 hargneuses qui ricanent
Au seuil des maisons de boue craquelée

















Ce volume, présente dans une traduction de Pierre Leyris qui fait référence, se compose de plusieurs groupes de poèmes suivis de notes ( certaines établies par T.S Eliot lui-même). Premiers poèmes, Mercredi creux, Mercredi des cendres, Poème d'Ariel, Quatre quatuors, éclairent une oeuvre poétique qui a dominé la première moitié du siècle. La Terre Vaine, le chef-d'oeuvre de T.S.Eliot, désormais considéré comme un classique de la poésie anglo-saxonne du XX e siècle, complète ce recueil.

Traduit de l'anglais par Pierre Leyris
édition bilingue
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
..
.
.
.
.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire