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S.Maria d'Aracoeli

d'un autel (ara) élevé à une déesse du ciel

Sur le site de cet escalier et de cette église s'éleva, dés les origines de Rome, la citadelle (Arx) qui prolongeait vers le nord la protection du Palatin déjà naturellement assurée par le Tibre. Sous la république , y fut édifié un temple à Junon Moneta. Selon la légende c'est là que la Vierge et l'Enfant apparurent à l'empereur Auguste après qu'il eut interrogé la Sibylle de Tibur pour savoir s'il y aurait un jour un homme plus grand que lui.

L'austérité de la façade de briques est à peine rompue par deux rosaces gothiques et une porte renaissance. La partie supérieure, légèrement en encorbellement, était autrefois recouverte de mosaïques.

L.A.Photographie , Rome juillet 2012

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Pieds nus sur le parterre des Cosmates

Marbre lisse et frais
de S. Maria d'Aracoeli...

L.A.Photographies, Rome juillet 2012

Le parterre est une des oeuvres les mieux conservées des Cosmates

marbriers romains qui exercèrent leur art du 12e au 14e siècles.

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Propose une énigme et fais une parabole

[Ez.17:2]

à quoi ressemblaient les paroles de la Tora avant que Salomon eût apparu ? à un puits dont l'eau froide était située dans la profondeur, de sorte que personne ne pouvait en boire. Que fit alors un homme intelligent ? Il attacha des cordes les unes aux autres et des fils les uns aux autres, et ensuite il puisa et but. C'est ainsi que Salomon passa d'une allégorie à une autre jusqu'à ce qu'il approfondit les paroles de la Tora. Telles sont les paroles textuelles.

L.A Photographie, Lys orangé des Abruzes juillet 2012
source texte Le guide des égarés, Moïse Maïmonide.
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