mercredi, août 22, 2012

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La durée de la vie d'un homme ? Un point .













Sa substance ? Un flux. Ses sensations ? De la nuit. Tout son corps ? Un agrégat putrescent. Son âme ? Un tourbillon. Sa destinée ? Une énigme insoluble. La gloire ? Une indétermination. En un mot, tout le corps n'est qu'un fleuve ; toute l'âme, un songe et une fumée ; la vie, un combat, une halte en pays étranger ; la renommée posthume, c'est l'oubli. Qui donc peut nous guider ? Une seule et unique chose, la philosophie.


Alors que Rome est menacée à ses frontières par les barbares, l'empereur Marc Aurèle ( 121-181) note chaque jours, dans un dialogue avec lui-même, les réflexions et les déceptions que lui inspire le monde. De grande pages, émouvantes par leur humanité, qui disent les tourments d'un homme et la sérénité dans le stoïcisme.







L.A.Photographie,
 Rome juillet 2012
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