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Depuis les roches fourchues de Penna et Billi, sur le Carpegna
en passant par la route qui mène sous la falaise,
à l'abri du vent jusqu'en Toscane,
Et la route du nord, vers la Marecchia
le banc de boue plein de galets.
Lyra :
" Esprits qui vivez jadis en ce pays
Chacun en Amour, et troublé,
Allez avec vos luths réveiller
L'été sis en son esprit,
Elle ne peut à Hélène se comparer
à Iseut ou Béthsabée. "
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