lundi, avril 09, 2012

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Si un poète écrit sur une catastrophe à la veille d'un évènement désastreux, ce n'est pas un hasard. Si le récit d'une catastrophe débute immanquablement par la veille, ce n'est pas un hasard.

Chronique tenue du 10 mars au 30 avril 2011, sur la superposition des images, la mémoire des villes, le hasard, la temporalité de la description et les noms propres qui surgissent, fantomatiques, lors d'une catastrophe.



Ryoki Sekiguchi



Je commence par la veille.

Le 10 mars 2011

















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