écorce d'érable II
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Lionel André / promenades / randonnées / arts / littératures / air du temps
dimanche, mars 20, 2011
*
Poésie
de la rumeur tournante et
bondissante
.
traits des orients et caractères des
nuits humaines
les chemins ne vont que les
uns aux autres
et on retrouve toujours
les mêmes
.
Marguerite :
.
l'or est au centre
et les pétales y convergent
candides
.
une chose que l'on a grande hâte de voir
Poésie
de la rumeur tournante et
bondissante
.
stigmate
derrière l'arrête de droite
traits des orients et caractères des
nuits humaines
les chemins ne vont que les
uns aux autres
et on retrouve toujours
les mêmes
.
les jours se ressemblent
les étonnements de l'enfance
ne sont jamais
très loin
Marguerite :
.
l'or est au centre
et les pétales y convergent
candides
Red et Judex
en majesté dans une mandorle
diagonale de la grâce
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une chose que l'on a grande hâte de voir
ou d'entendre :
la lettre d'une personne
aimée.
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79 e jour de l'année 11 e semaine
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Le soleil s'est levé à 05:55 et s'est couché à 18:03
.
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Début de printemps avec Scardanelli et Maxence Caron
.
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Le coeur de l'homme est traversé de douce joie.
Une nouvelle vie au Futur se dévoile.
.
.
Tu as compris afin de croire, crois désormais pour comprendre et croître,
suis aveuglément le Sens découvert et l'ordonnance céleste,
marche seulement et je ferais le reste.
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Premier Temps
;Le soleil s'est levé à 05:55 et s'est couché à 18:03
pleine lune
..
.
Début de printemps avec Scardanelli et Maxence Caron
.
.
Le coeur de l'homme est traversé de douce joie.
Une nouvelle vie au Futur se dévoile.
.
.
Tu as compris afin de croire, crois désormais pour comprendre et croître,
suis aveuglément le Sens découvert et l'ordonnance céleste,
marche seulement et je ferais le reste.
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Toujours vivant
Les nuages sont les dinosaures projetés dans le ciel par la chute
du météore catastrophique.
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L.A. photographie, les Saisies, mars 2011
avec André Ar Vot.
du météore catastrophique.
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Massifs, immobiles, ils sont restés les ruminants du ciel, des mammouths indolents dans de lointains pacages. Ils se perpétuent, de nos jours, par génération spontanées, dans le bruit et la fureur des somptueux orages d'équinoxe.
.L.A. photographie, les Saisies, mars 2011
avec André Ar Vot.
Ta gloire
Je veux Ta gloire !
;
;
Ton nom
J'aime Ton nom !
,
,
,
,
C'est une volonté une promesse
,
une dernière rupture de ponts
,
un vent marin
,
une levée d'ancre
,
un passage
,
un chant
,
une porte ouverte
,
" Voilà une illumination de Rimbaud, et c'est du Mozart "
,
.
C'est musicalement qu'on entre dans ce mystère.
.
.
H.
elle aussi d'un ciel de lit la sainteté la plus pure
sa voix lancée la plus neuve quintessence
;
écho dans les cloisons
;
porte
;
poussière
;
temps aux énormes yeux bleus et aux formes de neige
,
plus claire écorce toujours et toujours plus saine
;
silence
;
sol
;
libre visage dans la plus tendre nécessité.
Je veux Ta gloire !
;
;
Ton nom
J'aime Ton nom !
,
,
,
éternel présent avec son panache de feu
,,
C'est une volonté une promesse
,
une dernière rupture de ponts
,
un vent marin
,
une levée d'ancre
,
un passage
,
un chant
,
une porte ouverte
,
Je vois la digitale s'ouvrir sur un tapis de filigranes d'argent,
d'yeux et de chevelures.
" Voilà une illumination de Rimbaud, et c'est du Mozart "
,
La nature enchantée.
..
C'est musicalement qu'on entre dans ce mystère.
.
Ph.S. écrit
" le corps sonore devance le corps biologique ".
..
H.
elle aussi d'un ciel de lit la sainteté la plus pure
sa voix lancée la plus neuve quintessence
;
écho dans les cloisons
;
porte
;
poussière
;
temps aux énormes yeux bleus et aux formes de neige
,
plus claire écorce toujours et toujours plus saine
;
silence
;
sol
;
libre visage dans la plus tendre nécessité.