Bien sous mon Pin

mais surtout

Bien

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sous plus Haut que lui

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L.A. photographies, les Saisies, février 2011

Midi, comme il me brûle, mon Pin !
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L.A. photographie, Les Saisies, février 2011.

Maintenant en promeneur clandestin.

Encore bien plus plus excitant !

Quarante et une
pancartes d'interdiction en plastique autour de la Tourbière des Saisies !
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Promeneur, rêveur, oisif, ami de la nature gratuite et généreuse, vous êtes désormais interdit de libre circulation dans la Grande Tourbière des Saisies. Vous, l 'insupportable égaré ,vous dérangez les oiseaux que l'on écrase avec nos dameuses et que l'on tue la chasse venue ! Vous croyez à une plaisanterie de mauvais goût ? Mais non.

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Moisissures d'une conscience bloquée, dénuement d'intelligence, sécheresse de coeur, aigreur ennuyée...Voici l'expression de nos tartuffes de l'écologie et de nos fonctionnaires châtrés de la pensée, tous abrutis d'enseignements matérialistes.

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Voilà l'expression d'une époque en tout point contraire à la nature de son intériorité autant qu'à l'itinéraire de son salut.

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Travaillez toujours plus à son propre mal et sa propre ruine

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Avec mon Veilleur :
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Les hommes n'aiment pas la liberté, ni la leur ni celle
d'autrui,
ils veulent être esclaves quelque part et y puiser de quoi
dominer ailleurs, aussi misérable que cette domination soit.

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L.A. photographie, les Saisies, février 2011

Penser, c'est chercher une clairière dans la forêt

pour en faire le tour dans le sens des aiguilles d'une montre

et laisser le centre ensoleillé.

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Clairière de souvenirs, d'intimité tiède, où l'on est très heureux.

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Dans le bois d'Amont, il y a une clairière. Elle est tout près de la lisière. ( Ramuz)

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L.A. photographies, les Saisies, février 2011