L'eïconale trinité de coeur, d'âme et d'esprit
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Sans se démettre d'intelligence et devant les consubstantiels
droits de la Vérité,
abjurant ceux imaginaires de l'ego qui se les attribue en préférant
qu'il s'en afflige,
sans rien abdiquer de la raison pour sa foi mais révélant que
de celle-ci la première est l'ombre portée,
la sainteté vient à Toi mon Dieu sur la simple résonance de
Ton Nom sacré, tandis que parle déjà en elle la langue trinitaire
de l'âme, du coeur et de l'esprit.
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Le Chant du Veilleur, Maxence Caron
L.A. photographie, sur la route de la Trinité, janvier 2011