lundi, octobre 11, 2010

marbre & pièces de métal
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L.A. photographies, Fiesole, septembre 2010

comme cicatrices
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L.A. photographie, sur le marbre, Fiesole, septembre 2010

Collées, déchirées, affiches, Firenze
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L.A. photographies, septembre 2010


Jessica
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L.A. photographie,
sommet de la coupole de Santa Maria del Fiore
sur le marbre, Florence, septembre 2010

Commune di Firenze
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L.A.photographie, septembre 2010

Peinture & traces sur un mur, Firenze
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L.A. photographies, septembre 2010


Signes rapides sur un mur, Firenze
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L.A. photographies,
Florence septembre 2010


Via Minima, Firenze
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L.A. photographie, septembre 2010

Hervé Collet, Dieu ou Rien ? traité de l'enthousiasme
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Fondamentalement rien
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Fondamentalement rien. Et dans ce Rien fondamental réside l'extraordinaire magie poétique du monde. Il est la source inépuisable à partir de laquelle l'univers se déploie. Il est, dans le vocabulaire bouddhiste, le vide, plus précisément l'espace vide et infini, plein de toutes les potentialités d'être, prêtes à se condenser, le vide de notre propre graine autour duquel, peut-être, gravite l'univers.
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Le grand mystère est qu' originellement il n'y a aucun mystère. Tout est parfaitement simple et évident. Tout est Un. Fondamentalement Rien ( étymologiquement " non chose ", c'est-à-dire non-distinction du tout en choses séparées ). L'entropie du discours et, subséquemment, l'ésotérisme religieux, philosophique et scientifique ont fini par obscurcir le message initial, celui des Anciens, si limpide, " tout est un et tu es cela ", jusqu'à le rendre aujourd'hui illisible. Le mystère de la vie n'est au fond pas un problème à résoudre intellectuellement mais une réalité à expérimenter : l'unité du moi et du monde, la saisie poétique du moi-monde.
Accompagnateur en montagne
je partage avec autrui
la terre le vide et mes " gouffres d'azur "
pas les chaises
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Si le monde est ce vide, eh bien ! je le suis aussi
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Le temps aujourd'hui est à la pluie et au vent
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dites moi surtout Bonjour !