vendredi, décembre 31, 2010

Holly
Wood sauvage dans la neige
persistance de la vie
je vous souhaite
une heureuse et lumineuse année 2011
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Ne vous fatiguez pas, c'est une chose déraisonnable ! La santé et la vie ne sont-elles pas plus précieuses que toutes les autres saletés au monde ?
Vivez tranquillement.
Rimbaud aux siens, Harar, vendredi 22 juillet 1881.
Le ciel m'est un incarnat de Pâques.
Veuillez tous, qui ce lisez, ne négliger de dire à personne
que le miroir ancien du silence est brisé
par le fond du silence lui-même.
Il doit désormais tonitruer pour pénétrer nos écoutilles et
l'emporter sur ce qui s'est calculé fracas afin de le recouvrir.
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L.A. photographie, ciel des Saisies, décembre 2010
avec le chant du Veilleur, Maxence Caron
La petite départementale 123 pour le dernier jour de l'année
belle et bien dégagée !
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L.A. photographies, les Saisies, décembre 2010



L'Etal son ciel et les cirrus
dans la finitude des mots
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L.A. photographies, les Saisies, décembre 2010

Bois & métal
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L.A. photographies,
détails d'un chalet d'alpage de 1796,
les Saisies, décembre 2010


Bois & goudron
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L.A. photographie,
détail d'un chalet d'alpage,les Saisies, décembre 2010
les Aulnes
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L.A. encre & photographie, les Saisies,
décembre 2010

jeudi, décembre 30, 2010

Branches, encre, neige & crayons
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L.A. encre & photographies, les Saisies,
décembre 2010
Front de bois, promenade
sur la neige & sous les sorbiers
avec Pierre Tal-Coat
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L.A. photographies, les Saisies, décembre 2010
Clivages N° 8, sous la direction de Jean-Pascal Léger
février 1990



Neige & Sorbiers
comme Tresse
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L.A. photographie,
les Saisies, décembre 2010

Le boa est au travail, et ses hypnotisés sont de bonne volonté.
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Si tu ne crois pas à l'enfer tu n'as qu'à te laisser faire, suis-les, ils sont tous là, la prostituée, le philosophe matérialiste, le littérateur, le démagogue, le marchand de coco. Ils connaissent le chemin, il n'y a pas besoin de pourvoir à la formalité du trépas, on admet les vivants . ( Baudelaire, Femmes damnées - Delphine et Hippolyte, in Les Fleurs du mal)
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Une nouvelle race d'insensés batifole ; ils ont dit :
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Nous avons conclu une alliance avec la mort, (...) nous avons fait du mensonge notre refuge, et dans la fausseté nous nous sommes cachés. ( Claudel, Un poète regarde la croix, Gallimard, p.230)
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Au milieu des révoltés officiels et des insurgés du juste milieu, l'époque produit une singulière forme d'enragés, la seule possible à une ère qui ne vit plus que dans le seul combat qu'elle se donne, celui de haïr la vérité, une forme d'écumeux misalèthes qu'il est facile de faire sortir des gonds de leur Malebolge :
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Si vous tenez véritablement à rendre les gens furieux, à les mettre en rage, et cela jusqu'à ce que mort s'ensuive, la meilleure façon de s'y prendre consiste à leur dire qu'ils sont fils de Dieu. ( Chesterton, The Defendant, Introduction)
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in la Vérité Captive, Maxence Caron, pages 22/23
Poésie Concrète !
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Librairie des Bauges
Facture
N° 1012281D023
28/12/2010 10:34:48
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La Vérité Captive 1 ;;;63 €
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Nombre d'articles........1
Total a payer
63 €
dont TVA 5,50% 3,28 €
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Reçu
CH-EUR 33.00 €
ES-EUR 30.00 €
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Merci de votre visite
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Maxence Caron, La Vérité Captive .... De la philosophie
système nouveau de la philosophie
et de son histoire passée,
présente et à venir
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Théologiques
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Les éditions du Cerf AD Solem
Paris 2009
Promenade
je m'ouvre au Principe
que mon oreille perçoit
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L.A. photographies, Col de Cochette, décembre 2010



promenade sur une petite route enneigée
versant nord
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L.A. photographies,
Col de Cochette, décembre 2010


mardi, décembre 28, 2010

Le sens clair
l'éblouissement
Incalculable Transcendance
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substance proche insituable, combien qu'impalpable omniprésente puisque c'est Elle omnimatutinale qui m'atteint, Indicible Toi, très-haut Roy et très-haut Seigneur, Toi Celui qui est et qui dit seul à vrai : " Je suis ", Toi, Dieu, la Différence infinie...

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L.A. photographie, Col de Cochette, décembre 2010, avec le Chant du Veilleur

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L'oeil intérieur 
reçoit la présence d'une invisible 
lumière

pour dessiner 
le champ de vision


de même 
qu'il faut sève et clarté 
de contour 

pour que l'humide iris 
étale sa sphère belle d'opale.



La couleur première 
dont les yeux furent enchantés
tient invisiblement au fond de l'âme,

elle est le noeud borroméen 
homothétique de Trinité, serti en arc-en-ciel 
de flammes.



Maxence Caron,
Le Chant du Veilleur, 

page 63































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lundi, décembre 27, 2010

Éléments de clôture
clôture du choeur ouverture à jour
beaux jardins qui dans votre clôture...
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L.A. photographies,
Col de Cochette, décembre 2010
Éléments de clôture II
clôture enceinte sèche vive
klô-tu-r'
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L.A. photographies, Col de Cochette, décembre 2010

Éléments de clôture III
Clausura d'abord extrémité puis action de fermer
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L.A. photographies,
Col de Cochette, décembre 2010


Promenade sur une petite route enneigée
versant sud
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L.A. photographies,
sur la route du Col de Cochette,
décembre 2010