jeudi, mai 13, 2010

Et voici la fin. Dieu !
Le passé se part d'aube,
l'actuel se vit à venir.
Salut hier, vive dematin.
L'hier endorme. Foutu destin.
Eh bien, bonjour l'autre !
Le jour maintenant, le jour lent,
du délicat au divin, divague.
Parrimère plus brillante et plus douce,
la campanule qui teinte,
voici notre heure de se lever.
ça me dérange. Prions.
Jusqu'au suivant. Adyeux.
Rendons grâce, mille grâces.
En cette Europe comme sur cette Inde
.

lisant F.W.
2964 / P.880

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire