vendredi, septembre 11, 2009

La ligne de rupture

Il s'en faut d'un effondrement, d'une dérive souterraine

la surface du jeu, l'alternance et l'altération

c'est la peau du dehors qui se retourne et nous absorbe

nous errons dans le froid de plusieurs soleil...
.


L.A. photographies, Combaz di Golettaz, Gran Paradiso, septembre 2009
avec Jacques Dupin, la ligne de rupture, Poésie/Gallimard

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire