Lionel André / promenades / randonnées / arts / littératures / air du temps
lundi, février 16, 2009
Un pas
Un pas de toi, c'est la levée des nouveaux hommes et leur en-marche. Il y a un art de rester debout qui n'est pas celui de se fiche la gueule par terre.
La grande question philosophique était : « Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien? ». Aujourd'hui, la véritable question est: « Pourquoi y a-t-il rien plutôt que quelque chose? » Jean Baudrillard, Le crime parfait
La question posée par les hommes va et vient, joue à s'étonner de la présence du bruit et du silence, ou de leur absence : Pourquoi y a-t-il bruit plutôt que silence ? Premier temps, innocence de l'homme. Pourquoi y a-t-il silence plutôt que bruit ? Deuxième temps, agonie de l'homme.
Sauf que il y a toujours un troisième temps, sans lequel l'unité ne pourrait, ne saurait, être. Ni un homme, ni un dieu, ni un animal. Un enfant, pose la question : Pourquoi y a-t-il musique plutôt que bruit et silence ? Le troisième temps, mort de l'homme, renaissance de l'être.
commentaire au commentaire de fayçal: A la question d'un journaliste sur ce qu'il pensait du livre de Baudrillard, Oublier Foucault, Michel Foucault répondit: "La question n'est-elle pas plutôt de savoir comment se souvenir de Baudrillard?"
La grande question philosophique était : « Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien? ». Aujourd'hui, la véritable question est: « Pourquoi y a-t-il rien plutôt que quelque chose? »
RépondreSupprimerJean Baudrillard, Le crime parfait
La question posée par les hommes va et vient, joue à s'étonner de la présence du bruit et du silence, ou de leur absence : Pourquoi y a-t-il bruit plutôt que silence ? Premier temps, innocence de l'homme. Pourquoi y a-t-il silence plutôt que bruit ? Deuxième temps, agonie de l'homme.
Sauf que il y a toujours un troisième temps, sans lequel l'unité ne pourrait, ne saurait, être. Ni un homme, ni un dieu, ni un animal. Un enfant, pose la question : Pourquoi y a-t-il musique plutôt que bruit et silence ? Le troisième temps, mort de l'homme, renaissance de l'être.
commentaire au commentaire de fayçal:
RépondreSupprimerA la question d'un journaliste sur ce qu'il pensait du livre de Baudrillard, Oublier Foucault, Michel Foucault répondit: "La question n'est-elle pas plutôt de savoir comment se souvenir de Baudrillard?"
commentaire au commentaire anonyme autour du commentaire de fayçal:
RépondreSupprimerL'exemple est donné