dimanche, août 24, 2008

Le Baiser de Rodin

Bronze à l'entrée de la Fondation Pierre Gianadda à Martigny
(L.A. photographie août 2008 ; pour Ophélie P.)

"Je sens que je suis heureux ou que je vais l'être, car la jeunesse me reprend j'ai la tête pleine d'entousiasme, et les tyranniques passions me semblent bien passées je n'en aime pas moins les femmes, mais d'une autre façon, et je puis dire comme mes soeurs divines, et dont j'admire toujours la fine ciselure; du corps et du coeur le grand fondeur qui nous a fait vous a certainement mieux patiné que nous " (Rodin, lettre à Hélène Wahl, source Philippe Sollers dans la guerre du goût ; Rodin et la main de Dieu)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire